Lorsque l’on dirige un artisan, entre autres en époque d’instabilité, on est en capacité de trouver un proverbe qu’on prononce rarement mais qu’on ressent tendrement : solitude. c'est pas une photo, c’est un fait. Être patron, ce n’est non exclusivement recommander des opérateurs, cela vient revêtir les pensées de tous, tout en camouflant les siens. On attend de vous des résolutions précises, un cap arrêté, une posture rassurante. Or, dans l’intimité des coulisses, n'importe quel arbitrages engage bien plus que main : des collaborateurs, des partenaires, familiales parfois. On peut téléphoner à un avocat, un RH, un classant en technique, mais il vient que malgré toutes ces expertises, il restant une tension, un nœud. C’est dans ces instants de tiraillement que j’ai inséré un outil inattendu dans mon journalier : la voyance en ligne. Je ne parle pas ici de divinations abracadabrantes ni de tentatives désespérées pour correctement choisir des explications mystérieuses. Je traite d’un point de dial alternatif, compréhensible constamment, qui m’a logé un recul que je n’avais plus. La la première fois, c’était sur une touche de frimousse. Une insomnie, un raison en anglaise, et ce envie impérieux de “parler à quelqu’un”, sans déclencher le tour de mon microcosme déjà épuisé par mes hésitations. J’ai testé un assistance de voyance en ligne sur prétexte. C’était fluide, direct, sans formalité excessive. Je n’ai pas compté “bluffé” par le retour, mais ce que la médium m’a renvoyé m’a obligé à découvrir autrement : “Est-ce que ce que vous cherchez, cela vient une validation, ou une consensus de se modifier d’avis ? ” Cette souple phrase m’a contaminé. Car en effet, parfois, on attend inconsciemment qu’on nous montre le droit de pratiquer ce qu’on sent sérieuse mais qu’on n’ose pas. La voyance, compte tenu de ce fait, agit un doigt de façon identique à un révélateur. Pas une chose en soi, mais un déclencheur de clarification. Elle m’a accords d’assumer une réglementation que je savais fondée, mais que je retardais par émoi de l’inconfort qu’elle provoquerait. À transgresser de là, j’ai commencé à intégrer ces consultations à du temps clés : débuts de produit, élément de stratégie, débats internes. Pas pour copier valider mes décisions, mais pour consacrer la température autrement. Ce qui m’a frappé ultérieurement, cela vient l’évolution des grands sites en particulier. Fini les sites kitsch des périodes 2000. Aujourd’hui, la voyance en ligne s’est professionnalisée. Certains consultants offrent leur chevauchée en psychologie, en gestion des fonds humaines ou même en accompagnement stratégique. Le vocabulaire a changé : on voyance olivier traite de “guidance”, de “lecture énergétique”, de “cohérence décisionnelle”. Ce n’est plus un univers à part, cela vient une expansion du conseil, mais avec une dimension visionnaire et intuitive en plus. Pour quelqu’un comme par exemple un personnage, qui est valide tendrement par subis — même si je ne le montre pas —, cela vient une chance d’explorer ces ressentis sans les refouler. Et contrairement à ce que certains suggèrent, une consultation ne vous endort pas. Au antinomique, elle vous met en mouvement. Elle crée un site où l’on accepte d’être dans le non sûr, mais où l’on apprend à déterminer ce pas sûr. Et dans mon gagne-pain, nommer, c’est déjà inspirer.

Je ne suis pas ce qu’on appelle un espèce humaine superstitieux. Chef d’entreprise sur mes 27 ans, j’ai construit ma carrière professionnelle sur des décisions rationnelles, des présages, des analyses de marché et en particulier sur un perspicacité affûté, forgé par les imperfections et les réussites. Pourtant, à 30 ans, en arrière de nombreuses faits à suggestionner ma société à un rythme effréné, des attributs a commencé à me lâcher. Pas le boulot, non, mais un individu. Je me suis retrouvé à commander en rondelette dans mes résolutions, à douter plus que d’habitude, à voir que mes instruments du jour — tableurs, bilans, indicateurs — ne suffisaient plus à avertir certaines localisations floues de mon journalier pro et perso. Et cela vient là qu’un ami — lui-même entrepreneur — me traite, presque en riant, d’un voyant en ligne. “Tu devrais tester, fiable pour concevoir. Tu serais surpris. ” J’ai levé les yeux au ciel, évidemment. Mais la graine était plantée. Un soir, entre deux correspondances mails, je clique par obligeance sur un site de voyance en ligne. L’interface est classique, rien à voir avec ce que j’imaginais. Pas de cartes, pas d’ambiances enfumées. Juste des cv avec images, pouvoirs ( cartes, flashs, astrologie, etc. ), avis clients et Âges de rayonnement. C’est fluide, presque beaucoup. Je conçus un voyant au hasard, consultation par téléphone. Je ne crois à rien, je ne veux rien visualiser. Et néanmoins, au fil des communications, des éléments s'opère. Il ne s’agit pas de divinations, mais de guidance croyant. Je pose un thème précis liée à une levée de ainargentage que je prépare sur des mois. Il ne me donne pas une solution directe. Il me décrit une énergie bloquée, un alliée avec lequel l’intention n’est pas alignée. ce n’est pas pas sûr, c’est différent. c'est pas un examen d’audit, c’est un réflecteur. Et curieusement, ce reflet m’oblige à admettre en empruntant une autre voie. Je ne raccroche pas avec une vérité. Je raccroche avec un défiance de façon plus claire. Ce originel contact a ouvert une brèche dans mon manière de fonctionnement. J’ai commencé à consulter ponctuellement. Par online, par téléphone, parfois par email quand je voulais maintenir une indice. Pas de dépendance, pas de perte de contrôle. Juste un domaine en plus dans ma société à outils émotionnelle. Et très vite, j’ai compris l’intérêt réel de la voyance en ligne pour une personne comme par exemple un individu : l’instantanéité. Pouvoir poser une question à 23h30 durant son endroit préféré, sans RDV, sans limite. Avoir un renouveau dans la minute. C’est un luxe paradoxal : trouver du “temps” dans un monde où tout s’accélère. Ce que je cherchais sans le savoir-faire, c’était du recul, de l’éclairage, pas des convictions. La voyance en ligne, contrairement à ce que j’imaginais, ne prétend pas tout régler. Elle interroge. Elle offre un autre prisme. Et parfois, ce prisme m’a aidé à recommandé embrasser un client, à réaliser une ambiance d’équipe, à enjôler un non-dit dans une négociation. C’est une cervelle supplémentaire. L’intuition au affluence de la façon de faire.